Bonne lecture
Légende :
Pour commencer, il faut savoir que la maison est très isolée, elle est loin de tout et il n' y a qu' une simple route en bitume à moitié rongé par le sable. La maison fait face à une digue de sable, qui elle fait face à la mer du nord, d' ailleurs, à marée basse, des centaines de coquillages jonchent le sable fin. La maison semblait avoir l' électricité. Elle est composée d' une cave bouchée aujourd'hui, d' une pièce centrale (d' où se dresse fièrement un long piquet, et plusieurs cheminées 3, il me semble, sans compter celles qui devait se trouver aux étages), et apparemment un reste de "vérandas" ou de cuisine, complètement disparue aujourd'hui. Il y avait certainement un deuxième étage et un troisiéme, mais je ne peux le prouver.
Tout a commencer, par un heureux jour, comme dans toutes les malheureuses histoires. En fait, un jeune homme, un peu rondouillard, qui menait une belle vie et dont ses rondeurs caractérisaient sa joie de vivre, s' installa avec sa femme en ce lieux.
Cette endroit devait être un véritable paradis, imaginez-vous une maison au bord de la mer ! D' ailleurs tout au long de la digue du Break (je ne suis pas sur de l' orthographe du nom, mais niveau phonétique, c' est ça !), j' ai pue observé 2 ruines, engloutie par la mer : le paysage a due vraiment changé !
Le conte de fée continua ainsi, avec sa femme, qui venait d' apprendre qu' elle était enceinte. Tout était prés pour écouler de merveilleuses journées sous le soleil du Dunkerquois de l' époque (je vous rappel qu' à cette époque, on découvrait les premiers congés payés !), mais le destin en avait décidé autrement.
Neufs mois, plus tard, la femme allait accoucher, mais, celui-ci se déroula plutôt mal et la femme mourut pendant l' accouchement, puis l' enfant la rejoignit dans le sommeil éternel. L' enfant, mort-né, aurait du être un garçon. En moins de temps qu' il ne faut pour en dire, le rêve se transforma en cauchemar.
Je ne sais pas si vous avez déjà vu la tristesse des pluies du nord, où le ciel gris, arrive jusqu' à mouillé vos os, où la mer déchaînée vient s' écraser sur les côtes, où l' écume d' argent s' envole. La tempête faisait fureur pour célébrer l' événement prochain. Voilà, un mois que la femme et l' enfant était mort, que le conte féerique s' était transformé en un véritable cataclysme. L' homme sortait sa bouteille, comme à son habitude, il était 22 heures, le vent hurlait à la lune, comme un de ces loup charognard. Il soufflait terriblement fort, le ciel s' était teint d' une couleur inhabituelle, la mer se déchaînée plus fort qu' à son habitude, la pluie coulée le long de la façade. L' homme jeta son verre à terre, les yeux bleues si beau qui lui donnait tout son charme, était devenu des yeux noirs, noyés de désespoirs. Il monta sur la chaise de bois, mis la corde autour de son cou, et, d' un coup de pied décidé, poussa la chaise.
L' homme s' était suicidé.
Fait Historique :
La maison doit datée des années 1950, suite à de nombreuses recherches sur internet, je n' ais malheureusement rien pu découvrir. Je fais donc appel aux membres de Maison Hantée pour aider à cette recherche.
Photographies :
Sur cette photographie, nous pouvons observer : les tuiles, les briques, l' installation de l' électricité, une cheminée et une architecture très anodin pour les fenêtres (à gauche), deux portes d' entrée.
Nous pouvons remarquer que la végétation est très dense et de nombreuses herbes encombrent les 3 passages que j' ai pu remarquer.
Remarques et interrogations :
-comment peut-il y avoir encore des tuiles sur le toit ?
-comment se fait-il que l' architecture des deux fenêtres de devant soit si étrange ?
Et vous qu'en pensez-vous ?
(By PPhr59)